Une mine d’or d’emplois disponibles

18/06/2013

L’utilisation de l’internet de nos jours se tourne vers des opportunités d’affaires pour les jeunes et pour ceux qui le maîtrisent. C’est un système qui compte un nombre d'adeptes en croissance constante, étant donné sa rentabilité et sa flexibilité.

Certains le font pour arrondir les fins de mois. Pour d’autres, cela est devenu une occupation à plein temps. Des opportunités s’offrent dans les différents médias et sur Internet, et monter une affaire ou lancer sa propre entreprise est possible à travers internet. L’évènement Café TIC qui se déroulera ce mercredi 19 juin 2013 au Café de la Gare à Soarano sera une occasion pour les intéressés de voir quel type de « business model » est faisable et leur convient. L’ONG Habaka qui organise cet évènement profite du passage d’un « business angel » Cedric Donck , entrepreneur dans le secteur pour faire connaître aux internautes nationaux les opportunités d’affaires avec l’utilisation d’internet. Cet entrepreneur a créé de nombreuses sociétés dans le domaine du web et du marketing digital. Il est également le fondateur d'une ONG qui a pour vocation de soutenir l'entrepreneuriat à Madagascar. Articulée autour d'un concours de business-plan, d'un incubateur et d'un fonds d'investissement éthique, cette initiative a donné naissance à un grand nombre de créations d'entreprises dans la grande île.
Une aubaine pour les Africains
L’internet a pu donner des opportunités pour les jeunes de l’Afrique car les prix sont compétitifs dans le continent africain. Les investissements se tournent vers l’Afrique notamment Madagascar : les traductions, les agences de rencontre, les créations de sites web pour des vitrines de commerce électronique appelées aussi « boutique en ligne » et bien d’autres. Une étude à l’étranger a pu démonter que le monde logiciel est le premier dans lequel les Africains se sont lancés en affaires sur le net. L’évolution des logiciels « online » a rapidement permis à certains de développer des petites affaires prospères. Beaucoup de businessmen africains sont derrière tous ces logiciels Mac, Androïd, Linux ou même Microsoft.