06/07/2013
Dans un contexte de crises économiques dans le pays, le volume d’investissement du secteur privé a connu une chute considérable, mais a fortement contribué au maintien du volume d’emploi dans les régions d’implantation respectives.
En 2008, selon les statistiques, le volume total des investissements a été de 40 millions de dollars du PIB. Or en 2011, elle n’a enregistré que 14,4 millions de dollars du PIB. Concernant le secteur privé en particulier, le volume des investissements n’a affiché que 10,7 millions de dollars du PIB contre 33,2 millions de dollars du PIB en 2008. En bref, c’est le secteur minier qui maintient ce volume d’investissement. Beaucoup se demande actuellement, qu’est-ce qui aurait pu se passer si ces opérateurs miniers qui ont investi plusieurs millions de dollars comme le projet Ambatovy et QMM, décident de quitter la Grande île pour une raison ou une autre. Les projets miniers offrent des emplois aux populations des régions d’implantation. Ces projets miniers créent des activités génératrices de revenu pour les villageois qui ne travaillent pas dans les usines. Ce sont encore eux qui contribuent le plus à la vie sociale des habitants vivant près des sites d’extraction miniers. Les villageois bénéficient de formation dans certaines régions. Donc, cette baisse du volume des investissements illustre la réticence des bailleurs de fonds et des opérateurs économiques étrangers à investir ou à utiliser leurs argents à Madagascar à cause de l’insécurité des investissements. Beaucoup d’entreprises ont fermé leur porte à cause des problèmes administratifs. Selon les économistes du pays, ce sont les investissements du secteur privé qui assurent la création de richesse pour les Malgaches. La sécurité des investissements est souvent l’un des soucis majeurs souvent soulevés par les investisseurs étrangers, avant de décider de s’implanter.
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