Reconstruction de l’EPP de Brickaville

16/02/2013

Suite au passage du cyclone Giovanna dans les districts de Brickaville et de Vatomandry en 2012, 1.329 salles de classe ont été endommagées, affectant ainsi l’accès à l’école de plus de 77.000 élèves. Une soixantaine de centres de santé ont été également partiellement détruits. La BAD, le ministère des Finances et du budget et l’UNICEF avaient signé au mois d’août 2012, une convention de financement de 1, 000,000 USD sur la reconstruction de 34 salles de classe et 03 centres de santé avec des latrines et des points d’eau.

Les infrastructures sociales de base paient souvent le plus lourd tribut lors de passages des cyclones à Madagascar, qu’elles soient ou non construites en dur et répondant aux normes anticycloniques. Dans les districts de Brickaville et de Vatomandry, les plus sévèrement touchées par le cyclone Giovanna au mois de février 2012, furent les 1.329 salles de classe endommagées, affectant ainsi l’accès à l’école de plus de 77.000 élèves. Une soixantaine de centres de santé ont été également partiellement détruits.
La BAD, le ministère des Finances et du budget et l’UNICEF avaient signé au mois d’août 2012 une convention de financement de 1, 000,000 USD, à titre d’aide humanitaire d’urgence pour financer la remise en état des infrastructures sociales endommagées par les cyclones Giovanna et Irina, en 2012. La convention porte sur la reconstruction de 34 salles de classe et 03 centres de santé avec des latrines et des points d’eau. Le représentant résident de la Banque Africaine de Développement (BAD), le ministre des Finances et du budget, le représentant de l’UNICEF Madagascar, ont inauguré ce jour l’une des infrastructures sociales reconstruites grâce au financement de la BAD, l’EPP Ampasimbe Vohitranivona dans le district de Brickaville. La cérémonie d’inauguration a également vu la présence du ministre de la Santé publique, du ministre de la Population et des affaires sociales, du Secrétaire général du ministère de l’Education nationale, du responsable du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes ainsi que des autorités locales.